On m’a diagnostiqué la maladie de cœliaque il y a deux ans, après une période infernale de crampes, de fatigue et de maux de tête. Grâce à mes études, je connaissais cette maladie et mon monde s’est un quelque peu effondré. On m’a dit que je ne pourrai plus jamais manger de gluten, car la guérison était impossible. Les médecins m’ont également dit que c’était héréditaire et que le risque existait de transmettre un jour cette maladie à mes enfants. La bonne nouvelle est qu’avec un régime sans gluten, tous mes symptômes ont disparu et je me suis sentie beaucoup mieux.

Ma famille, mes collègues et mes amis se sont déjà efforcés de m’aider à suivre ce régime. Aucune fête où l’on me proposait des friandises et les invitations au restaurant se faisaient dans des établissements proposant, entre autres, des menus sans gluten. comme je savais quels étaient les conséquences d’ingérer du gluten, je n’ai jamais succombé à la tentation. ce qui m’a manqué c’est le goût de la pâtisserie normale, du pain, de la pizza et des roulés.

Un jour, une collègue m’a dit qu’elle était également atteinte de la maladie cœliaque et que grâce à NAET, elle pouvait à nouveau tolérer le gluten. Cette femme était complètement guérie de cela. Je ne pouvais en croire mes oreilles. Bien sûr, je n’ai pas laissé passé cette chance et je me suis immédiatement mise à la recherche d’une thérapeute qui pratiquait cette méthode et pourrait m’aider. C’est comme ça que j’ai atteri chez Angeline Adriaenssens. J’étais complètement ouverte à cela et très enthousiaste et j’avais hâte de me rendre à ce rendez-vous. Après à peine 4 séances, j’ai pu tolérer à nouveau le gluten. C’était une merveille, pour moi mais aussi pour mon entourage. Juste avant les vacances, nous avons à nouveau pu manger des aliments contenant du gluten. C’était vraiment le plus beau cadeau de Noël.

Cela fait maintenant 6 mois que je suis guérie et je suis tellement heureuse de cette guérison. Je suis certaine que j’apprécie davantage que quiconque un sandwich ou un gâteau au café. De plus, mon entourage (amis, famille et collègues) me parle souvent de cela et je suis ravie de pouvoir manger des friandises qui m’étaient interdites auparavant. Aujourd’hui, les allergies sont de plus en plus fréquentes et je pense que cela reste un souci majeur, de sorte que je suis vraiment heureuse que ce soit du passé pour moi.

J.V. (Province d’Anvers, 23 ans)

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